Asperger, HPI et TSA

Je propose une prise en charge pour les situations particulières suivantes

Enfants ou adultes à hauts QI appelés également HPI (Haut Potentiel Intellectuel), ou EIP (Enfants Intellectuellement Précoces)
Syndrome d’Asperger et TSA (verbal, de niveau 1)
Troubles psychiques : TDA(H), troubles dys, TCA, troubles anxieux et phobies, troubles addictifs

Les outils et les consultations sont adaptés pour ces profils particuliers.

Attention : je ne fais pas de bilans psychométriques (test de QI)

Depuis 1998, je suis particulièrement impliquée sur le sujet du Haut Potentiel (membre ANPEIP, AFEP, co-fondatrice de Québec Info Surdoués). Vous serez donc accompagné(e) par une professionnelle à compréhension « rapide », très au fait des spécificités cognitives, et particulièrement informée sur les sauts de classe, l’IEF et les différentes problématiques rencontrées au quotidien et en milieu de travail.

GARANTIE QUALITE :

Je suis HPI et depuis 2011, diagnostiquée Asperger en libéral, puis dans un CRA, ce qui me permet de faire facilement l’interface entre le patient et son environnement.

Petit « plus » : pour garantir ma légitimité, je montre mon bilan diagnostique d’une vingtaine de pages avec le nom des professionnels de l’équipe de diagnostic à ceux qui le demandent. Cela vous évite d’avoir à faire à un professionnel qui se dit Asperger sur la base d’un simple auto-diagnostic.

Dépistage TSA Trouble du Spectre de l’Autisme

J’ai été formée via l’Université de Genève au diagnostic pour les Troubles du Spectre de l’Autisme.

Je suis également titulaire d’un D.I.U (Université Claude Bernard Lyon 1, Université Paris Descartes et Université de Tours) : Troubles du Spectre de l’Autisme (TSA) de l’adulte : évaluer un trouble autistique, accompagner un trouble autistique, effectuer un bilan complet.

Je propose un parcours d’accompagnement pour le dépistage du TSA, qui se déroule en 4 consultations d’une heure.

Les séances peuvent se dérouler en présentiel ou en distantiel, dès l’instant où il y a une webcam avec un plan large pour que je puisse observer le non-verbal.

Vous pouvez planifier les 4 séances au rythme qui vous convient, soit rapidement, soit à plusieurs jours / semaines d’intervalle.

Le coût correspond à celui de 4 heures de consultation (voir « prendre RV », réserver un créneau d’une heure), et d’un complément de 30 € à remettre à l’avant-dernière séance si vous souhaitez obtenir une version du document final : cela correspond à l’analyse des résultats et au travail rédactionnel du compte-rendu final et chiffré (une dizaine de pages).

Le coût total du parcours est de 430 € (paiement en 4x sans frais possible)

Ce dépistage s’adresse aux adultes et aux adolescents à partir de 15 ans.

Séance 1 : rencontre et dialogue avec l’individu ou la famille. Qu’est-ce qui a amené des suspicions, anamnèse, contexte environnemental, explications sur le déroulement du dépistage.

Séances 2 et 3 : passation d’outils d’évaluations.

Parmi ceux-ci, je vais utiliser certaines échelles de cotation recommandées par la Haute Autorité de Santé, en fonction de la situation de la personne :

– Adult Asperger Assessment : cette échelle de mesure prend en compte tous les symptômes du DSM-IV pour le diagnostic d’Asperger ainsi que des symptômes additionnels. Bien que le DSM ait évolué (voir NB de bas de page), cette cotation est un outil incomparable pour avoir un bilan clinique qui fournit une évaluation diagnostique.

– Quotients du Spectre Autistique de Baron-Cohen

– des échelles de comportements (Cambridge Behavioral Scale)

– des tests sur les interprétations comportementales, situationnelles et oculaires

– des questionnaires de personnalité

– des évaluations des compétences sociales et de théorie de l’esprit

– d’autres outils permettant de mieux cerner les forces et les déficits dans les domaines de l’affect social (communication et interaction sociales), des intérêts restreints ou répétitifs et des comportements et activités spécifiques.

Bien qu’il existe des outils d’évaluations, rappelons qu’un dépistage (de même qu’un diagnostic) est avant tout une évaluation clinique, c’est à dire que cela fait appel à l’expertise et à l’expérience du praticien. Autant donc s’assurer que le praticien est bien formé à la spécificité du TSA.

Je réalise depuis ma formation environ 80 dépistages par an.

Séance 4 : retour sur les évaluations, présentation du bilan écrit, recommandations pour la suite de la prise en charge auprès d’autres praticiens.

Au cours de ce parcours de dépistage, je suis attentive à envisager des comorbidités et/ou un diagnostic différentiel. En fonction des résultats, il peut être recommandé des examens complémentaires pour évaluer les signes associés. Je dispose pour cela d’un réseau de partenaires (neuropsychologues, psychologues, médecins généralistes, psychiatres) selon les besoins.

Avec une suspicion de TSA, il est indispensable d’envisager également un TDA/H (fonctions exécutives identiques), des troubles anxieux et de l’humeur (étiologie commune) ou des troubles psychotiques (difficultés au niveau de la régulation émotionnelle et facteurs de risques partagés).

IMPORTANT

Le bilan écrit indiquera si la suspicion de TSA est fondée et proposera des recommandations pour la suite de la prise en charge.

Il ne constitue en aucun cas un diagnostic médical.
Pour une reconnaissance de handicap et une demande MDPH, j’oriente vers des médecins qui connaissent mon travail et vont valider le pré-diagnostic afin de remplir le certificat médical.

Un vrai diagnostic de TSA est fait par une équipe pluridisciplinaire qui mène de multiples évaluations : bilan neuropsychologique, cognition sociale, bilan sensoriel entre autres. Puisqu’il est fondamental d’évaluer les antécédents médicaux (incluant génétique) et faire un examen somatique complet, cela ne peut être fait que par un médecin. Autrement dit, tout « diagnostic » fait par un psychologue ou par un seul praticien n’est en fait qu’un dépistage, appelé également un pré-diagnostic.

Néanmoins l’avantage de cette démarche de dépistage permet d’être aiguillé rapidement sur une présomption de TSA (habituellement 2 ans d’attente pour un diagnostic de TSA en C.R.A) et la mise en place quasi immédiate de prise en charge comme la TCC ou des séances d’habiletés sociales et de coaching pour les déficits communicationnels.

Je suis titulaire du Diplôme Inter Universitaire (D.I.U) Troubles du Spectre de l’Autisme de l’adulte : formation donnée par plusieurs centres hospitaliers (Lyon 1-Paris Descartes-Tours)

Spécialisée dans le Diagnostic avec des données scientifiques, génétiques et physiopathologiques.

Comorbidités psychiatriques et recommandations de prescriptions des psychotropes dans ces indications. Aspects médicaux généraux dans les TSA (comorbidités médicales générales fréquentes, douleur, sommeil, vieillissement…).

J’ai également été formée via l’Université de Genève sur les Troubles du Spectre de l’Autisme : biologie et neurosciences

Facteurs environnementaux et génétiques
Modèles cognitifs et systèmes cérébraux impliqués dans le TSA
Eye-tracking et nouvelles technologies
Neurodéveloppement et neuro-imagerie
Alimentation et sommeil
Psychopharmacologie de l’autisme

Les besoins de prise en charge sont identifiés lors des consultations puis traduits pour le milieu concerné (famille, établissement scolaire, travail).

Les aspergers (ou TSA de niveau 1) peuvent tirer de grands bénéfices d’une thérapie et notamment la TCC. Ils ont d’excellentes capacités mentales pour interagir avec un thérapeute spécialisé. Cet accompagnement est basé sur une approche dite des schémas cognitifs et comportementaux.

Plusieurs études ont montré l’efficacité des TCC pour les personnes avec TSA.

Contrairement aux idées reçues, les symptômes autistiques peuvent disparaitre avec une prise en charge appropriée. C’est ce qu’on appelle les Very Positive Outcome : ils représentent quasiment 20 % selon les études scientifiques. D’où l’intérêt du coaching, du développement des habiletés sociales et de la TCC pour un meilleur confort de vie.

L’accompagnement est toujours très pragmatique et vise à faciliter l’adaptation de l’individu avec autisme à son environnement familial et social, notamment dans le cadre des études et du travail. Le développement des habiletés sociales en est l’objectif principal.

Je travaille avec plusieurs psychiatres pour le Jobcoaching de leurs patients, ce qui permet une prise en charge rapide, complète et efficace.

Si vous êtes en entreprise et que vous êtes concerné par la neurodiversité, consultez cette page.

NB* : Malgré les modifications du DSM V, je fais le choix de conserver la dénomination « asperger », plus simple à comprendre pour le grand public. Ainsi, je peux accompagner des personnes avec un TSA de niveau 1.
Rappel Niveau 1 : « Nécessitant de l’aide » Sans aide, les déficits de la communication sociale sont source d’un retentissement fonctionnel observable. Difficulté à initier les relations sociales et exemples manifestes de réponses atypiques ou inefficaces en réponse aux initiatives sociales émanant d’autrui. Peut sembler avoir peu d’intérêt pour les interactions sociales.